Richard Grant
Commandant de la 1ère Division
Messages : 145
Date d'inscription : 05/06/2012
Inventaire
Arme(s) utilisée(s):
Transport utilisé:
 | | Sujet: Richard "Rick" Grant - J'explose d'abord et je pose les questions ensuite Lun 6 Aoû - 14:17 | |
| 
| NOM :Grant
PRÉNOM(S) :Richard "Rick", Eric, Matt
DATE DE NAISSANCE (ÂGE) : 04 Janvier 1976 (35 ans)
GROUPE SOUHAITE : Militaire
PV/SCENARIO : Oui
DOUBLE-COMPTE : Non
|
AVANT L'INVASION Richard est le fils enfin l’un des fils d’Eric et Sarah Grant. Des gens modestes, vivant à Houston au Texas. Il est le fils ainé, son frère Henry arriva plus tard. Mais de toute manière, ce n’était pas comme si cela était le plus intéressant. Dès le début, avec son frère, on remarqua des différences. L’un introverti, l’autre plus extraverti. Le caractère totalement opposé. Difficile de dire qu’ils s’entendaient bien durant leur jeunesse, enfin la toute jeunesse, fort heureusement, les cours et l’école étaient là pour empêcher les bagarre fraternelles, bien qu’elles soient toujours présentes. Et malgré tout, il était visible qu’Henry était le préféré, et lui, disons qu’il ne préférait pas relever tout cela. Les laissant faire, et les laissant dire, de toute manière à son âge, que voulez-vous qu’il rétorque ?
Commençant les cours, comme la plupart des enfants, à la maternelle (Pre-School) ou l'équivalent américain, on ne peut pas dire que par rapport aux autres, il était un "chieur". Bien au contraire, à l'heure de la sieste. Il faisait la sieste. Ne parlant quasiment pas. Même les professeurs se demandaient s’il savait parler. Il faut dire qu'à cette âge là, il était difficile pour lui de s'adapter à cette vie, surtout que finalement, on restait un orphelin alors quand les maîtresses posaient les questions pièges du jour, on restait le plus souvent silencieux ou alors on n'était tout simplement pas là. On préférait aller ennuyer son petit monde. Oui enfant, il était un garnement, mais il ne s'en ait jamais caché.
Arrivé au niveau primaire (Elementary School), il se laissa quelque peu aller. Notamment dans le fait que cette fois il devait parler pour répondre aux questions des professeurs. Ce fut peut-être les seuls moments ou il était attentif en classe. Le primaire. Ce fut également les seuls moments ou il essaya de s'intégrer. Mais bien vite il remarqua que ce n'était pas pour lui. Déjà par le fait qu'il s'agissait de tous ceux avec qui ils avaient été en Maternelle, donc la cohabitation était difficile. Et d'un naturel très peu bavard, même en cours pour répondre aux professeurs, cela n'aidait pas. Mais il participa à la vie de classe. Pendant un temps.
Viens ensuite le temps du collège (Junior School):
On ne peut pas dire qu'il soit un excellent élève durant ses années à l'école. Disons plutôt qu'il était plus téméraire dans le fait de ses professeurs et ses camarades de classe fou de rage que de réussir ses études. Période rebelle dirons nous. A croire que chez lui l'adolescence n'était pas la meilleure chose à avoir. Notamment du point de vue comportement. Cela se dégradait peu à peu. On mûrissait ou tout simplement on ne voyait plus la vie, les choses sous le même angle de vie. Il finit le collège en obtenant son diplôme (qui ne servait à rien en tout cas). Le collège était enfin terminé ! Bonne chose de faite !
Ce fut le temps du lycée, quelle misère, des jeunes filles, et des allures de bad boys accompagné de sa tête d'ours mal léché. Oh bien sur il n'était pas franchement apprécié dans le lycée. Déjà par son style, et également son caractère bien trempé. Certains l'ayant déjà remarqué dans les couloirs ou ailleurs dans l'enceinte de l'établissement. Ce qui lui a d'ailleurs valu le droit d'enfiler le costume de la mascotte de l'équipe de basket. Mais il ne regretta pas, il faut dire qu'apparemment cela avait du succès avec les pom pom girls. Ce fut notamment confirmer à la suite d'un match, ou il découvrit ce que voulait dire prendre une douche bien "chaude".
Toujours est-il que le passage par l’(High School)lui fit comprendre quelque chose. Il ne ferait jamais mieux que son frère pour ses parents. Peut-être pour cela qu’il chercha son indépendance ailleurs, après tout il n’était pas si mauvais que cela, juste les matières littéraires qui le faisaient mourir d’ennui. En tout cas l’obtention de son bac, ou du moins l’équivalent, avec des notes toutes à fait acceptables, lui permirent de lui ouvrir les portes de quelques institutions. Mais il avait malgré tout déjà une idée en tête pour ce qu’il voulait faire. Entrer dans l’armée. A l’âge de 18 ans.
Nul doute que sa décision ne passa pas vraiment auprès de ses parents, après tout, c’était mieux de faire comme son frère, de devenir médecin ou quelque chose de prestigieux plutôt que militaire, mais il ne se laissa pas démonter. Pour une fois, il éleva la voix contre ses parents et quitta la maison pour se présenter aux sélections pour l’Académie de West Point, école d’officier de l’armée de terre américaine. Les tests à passer, furent de sujets variés et vastes, il eut le droit à une révision complète de tout ce qu’il avait pu ou aurait dû voir en cours ou savoir en dehors.
Il espérait sincèrement réussir, sinon ses envies d’entrer dans l’armée seraient réduites à néant et comble de chance il réussit, sans oublier le passage par les tests médicaux pour savoir s’il était apte. Se sachant en forme et étant un adepte de sport, ce côté-là n’allait pas lui causer d’ulcère à l’estomac sans nul doute. Et c’est ainsi qu’il se retrouva embarqué dans cette école, dans la discipline militaire, pendant 4 années. 4 longues années durant lesquelles, ses options, ses compétences, ses capacités lui donnèrent accès à plusieurs voix.
Durant ces quatre années, il ne revit que très peu sa famille, à de rares occasions durant les permissions et encore il avait que très rarement envie de rentrer. Il préférait passer ses permissions à s’entrainer ou réviser ou continuer les entrainements des cadets, après tout, là ou il voulait aller, c’était vraiment les meilleurs qui y entraient et pour cela il devait se surpasser. Ce ne fut jamais simple mais il ne se plaint jamais, ce n’était pas dans sa nature. Il n’eut que peu d’amis durant ces quatre années d’école militaire, quelques uns mais pas de rapprochement très tangible.
Au vu de l’obtention d’un diplôme en électronique et mécanique à la fin des quatre années d’étude, vers 1998 avec le grade de 2nd Lieutenant et suite à ces capacités exploitées durant les étés que ce soit dans l’entrainement des cadets ou dans des unités actives pour la troisième et quatrième année, sa spécialisation était toute trouvée. Les commandos, les forces spéciales, c’était visible à des kilomètres quand on voit les entrainements de parachutistes, le combat au corps à corps et le reste qu’il effectuait durant ces années-là. Malgré tout, les forces spéciales, cela restait large, mais avec son diplôme en poche, il pouvait se diriger vers une bien spécifique.
Il s'orienta vers les bérets verts, ayant au préalable passé et obtenu les qualifications nécessaires pour les tests d'entrée dans ce corps d'armée des forces spéciales :
- Archives Pentagone a écrit:
- Formation :
-Phase I, Fort Benning, Virginia :
*14 semaines de préparation (entraînement basique et entraînement infanterie).
-Phase I, AirBorne School :
*3 semaines de préparation pour l'entrée au cours préparatoire des Forces Spéciales à Fort Bragg.
-Phase I, Fort Bragg, SFOC (Special Operations Preparation Course) :
*24 jours suivis d'une évaluation (SFAS=>Special Forces Assessment and Selection).
-Admission dans les cours de qualification Forces Spéciales (3 phases) :
*Assignation au 1er groupe d'entraînement des Forces Spéciales (Airborne) à Fort Bragg=>formation de 3 semaines sur les petites unités tactiques. Ces cours consistent à familiariser les soldats avec les spécialisations militaires (MOS=>Military Occupational Specialty) et avec également les compétences basiques d'orientation, de patrouille en milieu boisé.
-Phase II, Fort Bragg, SERE (Survival, Evasion, Resistance and Escape) :
*13 semaines d'entraînement (Survie, Résistance, Evasion) suivi d'une formation immédiate complémentaire dans de petites unités tactiques.
-Phase III, Fort Bragg, Entraînement spécial dans une des spécialités des forces spéciales:18A - SF Officer :
*15 semaines complètes d'entraînement (additional language training, SF Common tasks, Advanced Special Operations Techniques (ASOT), and Interagency Operations, leadership).
*Participation au "Robin Sage" :
1) Phase IV (Ecole de langues: Espagnol, Farsi, Français) : 14 semaines.
2) Phase V (Exercice à grande envergure guerre non conventionnelle) : 4 semaines.
-Formations complémentaires par la suite :
*Formation militaire chute libre.
*Formation et Qualification nageur de combat.
*Formation avancée sur les techniques d'opérations spéciales.
Tout au long de sa formation il suivit en alternance une formation linguistique: le Français, l'espagnol et le Farsi. Entre temps durant son affectation au Fort Campbell il reçoit également une autre formation spécifique au béret vert:
- LIVE ENVIRONMENT TRAINING (LET) a écrit:
Entraînement spécial consistant à réussir à s'immerger complètement dans une toute autre culture: Apprentissage de la langue (courante, familière etc...), des coutumes et des traditions et comment devenir un citoyen virtuel de ce pays.
Il fut notamment envoyé en Afghanistan avec tout le régiment du 5th Special Group pour prêter main forte aux hommes déjà présents, avant d'entamer les recherches dans les montagnes concernant de possibles résistants, opérations la plupart du temps conjointes avec la 82e aéroportée, les rangers ou encore les Delta Force. La plupart des missions en ce temps là se trouvant dans les montagnes, les conditions n'étaient pas des meilleures pour un premier lieu de combat. En même temps, on ne demandait pas son avis.
Toujours est-il que malgré tous les inconvénients liés à ce pays et au reste, son équipe et lui réussissaient la plupart de leur mission. Bien sur tout le monde au sein des forces armées américaines avait l'espoir de découvrir la planque de Ben Laden mais on ne se voilait pas la face, on n'allait pas l'avoir comme cela. On se contentait d'aider le nouveau régime ainsi que les militaires présents, ou enrôlés à faire face aux talibans. Sans oublier les traques dans les montagnes.
Il fut également déployé par la suite avec son unité en Irak notamment lors de l'opération libération de l'Irak préparant le terrain pour l'arrivée des troupes américaines, en faisant notamment de nombreux sabotages, opération de surveillance, prise de bâtiment. C'est durant une de ces opérations notamment sécuriser une zone de Bagdad qu'il perdit un "frère" d'armes, Eric, tué par une roquette tandis que Richard ne finissait qu'avec quelques côtes de cassées ce jour là. Certains dirons que c'était la faute à "pas de chance" ou alors que c'était:
Le hasard ? Peut-être...aller savoir. Toujours est-il que cela ne rendit pas vraiment Richard plus sociable pour la suite.
Il resta déployé en Irak jusqu’en août 2010, soit largement plus de cinq ans, lui permettant au travers des différentes actions menées, des différentes opérations effectuées – contre terrorisme, guérilla urbaine, opérations commando et j’en passe, d’acquérir l’expérience mais également une ou deux promotions au passage. Mais malgré tout, le désert lui pesait. A trop voir la guerre, on commençait à en avoir légèrement ras-le-bol. Au retour aux Etats-Unis, il continua sa carrière d’officier pendant plusieurs mois, jusque fin 2010 avant de tirer sa révérence à l’âge quasiment de 35 ans avec le grade de Major après quasiment 20 ans de service. Malgré tout, il ne pouvait pas vraiment rester trop éloigné de l’armée, et continua de servir en tant que réserviste.
Le problème quand vous quittez l’armée, c’est que cela se sait, d’autant plus que son frère le forçait à venir à la « maison familiale » car il avait une grande nouvelle à leur annoncer. Nul doute que c’était encore pour se vanter nous dirons. En fait non, c’était pour présenter à la famille sa future femme, ce fut d’ailleurs une sacrée surprise, sachant son frère un sacré coureur de jupons. Enfin s’il avait trouvé son bonheur. Il n’était pas très à l’aise durant le repas, ce n’était pas son style ça, d’autant vu les relations qu’il avait avec ses permissions. De plus les discussions tournaient surtout autour de son frère, de la belle carrière qu’il avait fait, lui préférait se taire et profiter de sa bière. Mais malgré tout, une surprise fut de taille, sa future belle-sœur était dans l’armée. Nul doute que cela en boucha un coin à sa mère également, et lui, pour un peu, s’il était plus extraverti, il se serait bien marré.
Et c’est là qu’une sorte d’alchimie s’opéra. Pour une fois, il parla, pas trop, mais quelque peu, après tout, rencontrer quelqu’un, même d’un autre corps d’armée, était toujours plaisant, et s’il pouvait faire enrager sa mère malgré tout – il avait la rancune tenace quand même ! – d’ailleurs, il pouvait dire merci à son frère d’avoir amené le sujet de l’armée sur le tapis, notamment en disant qu’il en faisait parti également.
Bien qu’au départ, il n’avait pas été des plus amicaux si on regardait bien, mais c’était son comportement habituel, ils avaient l’air de bien s’entendre et cela le mettait mal à l’aise. Ils s’entendaient trop bien, surtout qu’elle était fiancée à son frère quand même ! Ce n’était pas vraiment une chose à faire que de craquer pour la fiancée de son frère. Pour cela qu’il essayait de rester distant bien que ce ne fut pas aisé quand elle essayait de toujours lui demander son avis. Enfin cette journée se termina comme les autres, et ce fut bien la dernière fois ou il vit ses parents et son frère en vie.
Il s’installa à Houston, en périphérie, profitant de cette semi-retraite pour enfin avoir le repos bien mérité, profitant de sa solitude, bien que sa famille habitait les environs, mais il aimait rester seul. PENDANT L'INVASION Le problème, c’est qu’on n’est jamais tranquille bien longtemps sur la planète terre. A peine le temps de profiter pendant quelques mois de sa retraite, que voilà que débarque les aliens. Au départ, il n’était pas mobilisé, il était comme tout un chacun un civil, habitant une grande ville des Etats-Unis. Et c’est là, que le bas blesse. En sachant et en apprenant que nos armes, toutes nos armes n’avaient aucun effet contre les super-structures de leurs nouveaux ennemis, il était difficile de regarder ces aliens venir et faire leur loi sur la planète. D’autant plus que Houston fut autant touché que toutes les autres villes des Etats-Unis. Une bombe à neutron, spécialité de leurs nouveaux amis, frappant le centre de la ville, au moment ou il s’y « baladait » en véhicule. Nul doute qu’il dut l’abandonner. Et ce fut là que le déluge commença. Observer tous ces gens essayaient de fuir les aliens sans pouvoir se défendre. La destruction de chaque quartier, méthodiquement. On peut dire qu’il a survécu autant grâce à la chance que par sa formation au sein de l’armée. La guérilla urbaine il connaissait, et cela aidait pour se planquer en ville, et se faufiler au travers des lignes ennemies bien qu’il savait parfaitement que rester ici ne lui donnait que peu d’espérance de vie au final.
Le principal objectif, enfin le sien, fut surtout de trouver des armes pour se défendre. Certes dégommer un de ces méchas n’était pas possible avec des armes conventionnelles, mais les rampants, quelques bastos dans la figure et on en parlait plus. Peut-être aussi que c’est grâce à cela, qu’il se retrouva entouré d’un petit groupe de survivants, arrivant d’ici de là, d’un peu partout, déboussolé. Des civils, des officiers de police, des commerçants, il y avait de tout, et désormais on ne survivait plus simplement pour soit, et il fallait trouver un endroit sur. Il connaissait bien la ville, et le premier arrêt fut de se diriger vers le centre universitaire, ou peut-être il y aurait une chance de trouver d’autres survivants, voir de possibles moyens de communication au travers des projets des étudiants ou même d’une simple radio. Bientôt, l’université de Houston devint leur camp de base, regroupant la plupart du temps les réfugiés du centre-ville ou les étudiants, que des scientifiques pour la plupart. Peu de personnes sachant se servir d’une arme au final. Mais il faudrait faire avec en tout cas, et au moins ils étaient encore en vie. APRÈS L'INVASION Au début, l’université n’était qu’un camp de base, pas de commandement attitré, même si les décisions militaires étaient prises par les mêmes. Ceux et celles ayant le plus d’expérience. Quant aux civils, ils s’y accommodaient et prenaient part à la vie courante de ce camp de base. Mais cela ne pouvaient continuer ainsi. Il fallait un commandement unique. L’ancienne radio retrouvait dans les reliques de l’université permettait bien d’avoir quelques nouvelles mais quelque peu disparates au final. Le fait est qu’ils étaient semble-t-il seuls. Tout du moins, c’était ce qu’ils croyaient. Jusqu’à l’arrivée une nuit, d’une unité, d’une patrouille, visiblement, ils n’étaient pas les seuls à avoir survécus on dirait.
Rien n’était encore fait, rien n’était encore acquis mais pour un semblant d’unité dans cette vie post-invasion, il fallait se regrouper et avoir une hiérarchie à respecter, autant chez les militaires que chez les civils. Quelqu’un avait en quelque sorte pris le commandement des alentours de Houston et de la ville même. Un Colonel, il ne le connaissait pas, il venait de l’armée de terre, un ancien, mais il avait l’air de savoir ce qu’ils faisaient. Comment il le sut ? Simplement quand le dit Colonel rassembla les « chefs » des différents camps de base de la région de Houston pour mettre en place une stratégie face aux aliens. Chaque camp bientôt reçu un numéro de régiment, tout dépendait de ses spécificités, de son emplacement. Quand au commandement, il était militaire et civil à la fois. Les décisions civiles étaient prises par ces civils avec l’accord du responsable militaire, quand aux militaires, la hiérarchie fut respectée. Et bien malgré lui, il se retrouva à prendre le commandement de la première division de Houston. Commander quasiment deux cents hommes ce n’était pas son truc loin de là, mais étant l’un de ceux ayant la plus grande expérience au combat et le grade le plus élevé, il y héritait. La chance. Fort heureusement, son second, une femme, l’ancienne fiancée de son frère, était compétente. Et bien que leurs premiers rapports furent houleux, autant à cause de la disparition de son frère que du reste, ils réussirent à s’entendre, et à retrouver cette alchimie de la dernière fois, comme si cela ne les avait jamais quittés, mais il préférait ne pas trop se focaliser dessus au risque de commettre des bévues. De plus, elle devait faire le deuil d’Henry.
La vie tournait ainsi, avec ces hauts et ces bas, et parfois beaucoup trop mal au crâne avec les prises de tête concernant les civils et les scientifiques. Comment est-ce qu’on pouvait gagner la guerre quand vous aviez deux fois plus de scientifiques que de militaires et qu’ils vous demandaient à chaque fois l’impossible ? Parfois il regrettait quand même le sable chaud de l’Irak. Parfois seulement. Après tout, là-bas, il n’avait pas de vue aussi agréable que celles qu’il avait avec ses subalternes. Qui sait ? Peut-être qu’il finira par l’avoir sa retraite, un jour. CARACTÈRE Rick a toujours compté que sur lui-même finalement, il n’était pas le préféré de ses parents, ou en tout cas le moins expressif, c'est un peu pour cela qu'il est si renfermé et si peu communicatif avec les autres. Malgré tout son entrée dans l'US Army, l'a quelque peu déridé, même si il garde toujours son caractère solitaire envers les personnes qu'il ne connaît pas. Borné, têtu, mais également fait tout pour ne pas comprendre les autres si il commence à être proche d'eux. Un moyen de ne pas favoriser de quelconque rapprochement. Il reste ainsi un loup solitaire, un ours mal luné, qui est difficile à approcher et à amadouer, sans oublier qu'il n'y met jamais du sien. On ne peut pas vraiment dire qu'au premier abord il soit vraiment quelqu'un de très agréable à fréquenter, pourtant Richard cache bien des secrets. Il est capable de beaucoup de choses. Du meilleur comme du pire, aussi bien de se comporter comme un parfait imbécile que d'être quelqu'un d'aimant, de généreux et on en passe. Simplement ces facettes là, ne sont pas toujours visibles, cela dépend des occasions, des personnes avec qui il est.
Il ne montre qui il est vraiment qu'à ceux qui lui sont vraiment proches, et pour savoir ce que ça donne réellement, secret défense. 
| Pseudo : Dieu ou simplement Geo pour les intimes
Age : 26 ans et toutes mes dents, ou presque
Région du monde :Le Boukistan ^^’
Célébrité choisie : Sammy et Scooby  Sam Worthington
Quelque chose à dire : Pouet ?
|
| |
|
Accueil 
S'enregistrer 
Connexion 
Elle est vraiment parfaite.
