Falling Skies
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal

 

 Helen J. Amsterdam

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Helen J. Amsterdam
Second de la 1ère Division
Helen J. Amsterdam


Messages : 261
Date d'inscription : 16/05/2012
Age : 35

Inventaire
Arme(s) utilisée(s):
Transport utilisé:

Helen J. Amsterdam Empty
MessageSujet: Helen J. Amsterdam   Helen J. Amsterdam EmptyLun 6 Aoû - 22:12

      Helen J. Amsterdam Zyfupj

        NOM : Amsterdam
        PRÉNOM(S) : Helen Jane Meghan
        DATE DE NAISSANCE (ÂGE) : 14 février 1978 - 33 ans

        GROUPE SOUHAITE : Militaire
        PV/SCENARIO : Oui
        DOUBLE-COMPTE : Non



AVANT L'INVASION


    Un beau matin, on sonna à la porte de Luke Amsterdam, tenancier d'un magasin d'articles de pêche dans la banlieue de Chicago. Quand il ouvrit la porte, les yeux encore empâtés, il vit une blondinette excitée avec un paquet de linges entre les bras. Il la reconnut à peine mais elle lui rafraichit la mémoire en lui rappelant qu'ils s'étaient rencontrés il y a presque un an à une soirée chez son ami Ethan et qu'ils avaient passé une nuit assez agitée tous les deux. La mère de la jeune femme, très catholique et pieuse, avait refusé qu'elle avorte et c'est la raison pour laquelle elle se retrouvait avec un marmot indésiré sur les bras. Quoi qu'elle en soit, cette cinglée – tout de même d'un mauvais genre – lui apprit qu'elle allait se mettre avec un mécanicien à Charlotte qui ne voulait pas du bébé, raison pour laquelle elle venait lui refiler. Coup de bol, Luke Amsterdam adorait les enfants. C'est donc sans rancune qu'il la laissa filer lorsque tous les papiers légaux concernant la garde furent signés. Le bébé était une jolie petite fille étrangement silencieuse prénommée Helen, comme sa grand-mère maternelle.

    Helen avait toujours considéré qu'on ne devrait apprendre que ce qui allait nous servir pour vivre. Aussi avait-elle de mauvaises notes à l'école dans à peu près toutes les matières qui n'avaient aucun coté pratique, tel que l'art et la littérature, alors qu'elle excellait en histoire, en mathématiques et en sports. Elle avait d'ailleurs un bon niveau en athlétisme et remporta la coupe des interclubs pour son collège et son lycée tous les ans en saut à la perche. « On dirait que Dieu l'attire vers le ciel » commentaient ses camarades à chaque fois qu'ils la voyaient sauter, toujours avec cette souplesse et cette élégance caractéristiques. Sans doute aurait-elle pu poursuivre sur cette voie avec une certaine facilité si elle n'avait pas voulu en choisir une autre : l'Air Force. Elle s'engagea dans l'armée à 18 ans et ce qu'elle considère comme sa vraie vie commença.

    Il fut long le voyage en bus jusqu'à Lackland Air Force Base de San Antonio. Là-bas, un sergent instructeur jeta un regard critique à ses cheveux longs et lui laissa deux choix : soit elle les coupait au dessus des épaules, soit elle les gardait attacher en chignon tout le temps. Elle opta pour la seconde option parce que son père aimait bien ses longues mèches chocolat et passa le reste de journée à écouter tout le blabla des militaires pour l'introduction obligatoire. Les jours qui suivirent, on lui donna ses tenues, un lit dans un dortoir et un planning comprenant des taches de toutes sortes. Elle passa quelques tests lors desquels elle prouvait qu'elle avait été attentive dans les bonnes matières et tout alla pour le mieux.
    La semaine suivante, les choses sérieuses et intéressantes commencèrent. Conditionnement physique, tir dans différentes situations, leçons sur les différentes armes utilisées, Histoire de l'USAF... Bien sûr, il y avait aussi des choses moins drôles comme les visites chez le médecin et le dentiste ou encore des cours sur les relations humaines et la sensibilisation aux différentes cultures.
    La troisième semaine fut consacré au démontage et remontage des armes, apprentissage des techniques de camouflage, des réflexes de défense et des mouvements tactiques. Helen se trouvait étonnamment douée pour ces derniers. Son cerveau fonctionnait à cent à l'heure. Elle avait beau savoir que c'était un entraînement, elle ne pouvait pas s'empêcher de se donner à fond et de faire comme si ses décisions étaient vraiment cruciales pour prendre les bonnes et le plus rapidement possible.
    La quatrième semaine la passionna moins mais il fallait en passer par là : la médecine de base. Apprendre à désinfecter des plaies correctement, à faire des bandages, à transporter des blessés, à réparer des fractures, à soulager des brûlures... Des militaires invalides vinrent leur parler de leur expérience, sans doute pour les sensibiliser à l'importance que revêtait ces cours. Ils avaient raison sans doute, mais Helen n'écouta que d'une oreille.
    La semaine suivante fut nettement plus divertissante. Ils eurent des exercices de protection contre une attaque terroriste, des parcours d'obstacles et même un entraînement sur l'ordinateur. Ils passèrent également un examen chronométré de démontage et de remontage de leur arme. La jeune femme s'en sortit très bien et eut droit au regard fier de son instructeur.
    La sixième semaine fut consacrée à tout le coté plus tactique des opérations militaires mais aussi à une présentation du matériel un peu plus poussé.
    La suivante, ils eurent droit au plus palpitant sans doute : un exercice de survie en milieu inconnu après une évasion de détention. C'était de la grande aventure où il fallait se débrouiller uniquement avec ses petits camarades. Helen fit tout de suite preuve d'un leadership assez prononcé et, même si certains de ses homologues n'avaient pas trop envie de se faire donner des ordres par une femme, ils furent bien forcés de s'y plier, par manque d'audace eux-même ou simplement parce qu'ils avaient conscience que ses idées étaient meilleures que les leur. C'est dans ce cadre-là qu'elle mangea pour la première fois les rations de l'armée. Quel souvenir pour son estomac !
    Comparée à la septième, la huitième semaine fut beaucoup plus cool. Encore un peu d'Histoire de l'Air Force, leçons d'éthique et prévention contre le suicide. Il y eut également une évaluation physique ainsi qu'un examen de stress en milieu de combat.
    A la fin de sa formation, elle fut l'une des rares de sa promotion à être récompensée d'un ruban, le Basic Military Training Honor Graduate Ribbon, pour ses réussites aux épreuves militaires et académiques.
    Commença ensuite un entraînement quotidien et poussé, comprenant 24km de course, des pompes, des abdominaux... Tout cela dans la joie et la bonne humeur !

    Helen intègre plus tard la 8ème Division de l'Air Force Global Strike Command, division également surnommée la « Mighty Eighth » depuis la Seconde Guerre Mondiale. Elle réside sur la base de Barksdale en Louisiane. C'est une force aérienne stratégique qui mène essentiellement des opérations de bombardements mais elle se compose aussi de chasseurs assurant la protection de ces bombes jusqu'à leur destination. Helen pilote avec un certain talent l'un d'eux d'ailleurs. Un Lockheed Martin F-22 Raptor qu'elle affectionne tout particulièrement. Dans son cockpit, elle a l'impression d'être la reine du ciel. Comme elle s'intéresse de près à son engin, elle a passé des heures à discuter avec les mécaniciens de la base qui lui ont tout dit à propos des deux moteurs qui se trouvent sous le capot. C'est une femme débrouillarde et manuelle qui n'hésite pas à mettre les mains dans le cambouis. Il n'était pas rare de la voir elle-même faire le nettoyage de son canon rotatif à six tubes.

    On aurait pu croire qu'avec une vie aussi mouvementée, la belle et fière jeune femme n'avait pas de temps pour une vie sociale. On aurait eu tord. Elle fréquentait depuis tout juste un an un certain Henry Grant, un avocat brillant très extraverti et fêtard, qu'elle avait rencontré lors d'une soirée organisée par un collègue de la base. Il était amusant et dragueur. Sans doute s'était-elle laissée prendre au piège par son sourire mais, malgré ses frasques, s'était un homme bien, elle en était persuadée. Lorsqu'il posa un genou à terre pour lui demander de l'épouser, elle dit oui, même si elle ignorait encore tout de sa famille pour ne l'avoir jamais rencontrée. Elle aurait vraiment préféré continuer à l'ignorer encore, parce qu'à la seconde où elle posa les yeux sur le frère de son fiancé, Richard, elle sut qu'elle était en train de choisir le mauvais frère. Elle ne voulait absolument pas ressentir ça, elle aurait aimé se tromper, confondre le coup de foudre avec un truc pas frais qu'elle avait mangé plus tôt, mais il n'y avait rien à faire. Pendant la petite réunion de famille, Helen ne parla presque qu'avec Richard parce que tous les autres étaient en train de baver d'admiration devant Henry et ses brillantes études, dénigrant presque l'armée. L'aîné de son futur époux avait une personnalité totalement opposée à celle de son frère et, de ce fait, tellement proche de celle d'Helen que s'en était troublant. Tout à coup, elle n'était plus sûre de vouloir se marier.
    Heureusement, les aliens allaient décider pour elle...

PENDANT L'INVASION


    _ Allo ?
    _ Henry, par pitié, ne me dis pas que tu as pris ce train pour New-York.
    _ Si, justement j'arrive en gare-là. Tu sais bien qu'il est très important pour moi d'aller à ce séminaire. Il y aura beaucoup de cabinets d'avocats réputés. Il faut que je les impressionne. Tu imagines leurs têtes si je...
    _ Mais on s'en balance de ton séminaire ! Ce qu'il y a au dessus de nos têtes, c'est pas les effets spéciaux du dernier Luc Besson, tu sais ? Ce sont des putains d'aliens !
    _ Ne t'énerve pas, chérie. Je serai rentré demain matin, comme prévu. Allez, dis-moi que tu m'aimes.
    _ Non !

    C'était la dernière conversation téléphonique qu'avait eu Helen avec son fiancé juste avant que le premier tir ennemi sur la planète Terre n'anéantisse complètement la ville de New-York. Elle aurait aimé avoir été plus douce, lui répondre qu'elle l'aimait (même si elle en était moins sûre depuis quelques mois) mais elle n'en aurait plus jamais l'occasion. Les télévisions du monde entiers avaient retransmis les images avant d'être brusquement réduites à l'obscurité par le brouillage des ondes et la destruction des antennes. La jeune femme était dans sa cuisine en train de se préparer un petit-déjeuner, le poste allumé, quand elle avait assisté au spectacle. Les yeux écarquillés, elle regardait l'écran qui venait de se brouiller, le téléphone toujours à la main, sans parvenir à réaliser ce qui venait de se produire. Sa voix blanche répéta dans le combiné le prénom de son fiancé, sans avoir de retour. En une seconde, tout était terminé.
    Helen était sortie de chez elle sans prendre le temps de fermer la maison et avait grimpé dans son pick-up pour filer jusqu'aux bâtiments militaires où elle était entrée en trombe. Elle fut bientôt rejointe par des collègues depuis les quatre coins de la base de Barksdale. Là, on leur dit de ronger leurs freins pendant que leurs supérieurs attendaient les ordres de l’état-major. La jeune femme en profita pour filer au vestiaire se changer et se rendit au hangar. Ses compagnons de vol qui avaient eu la même idée qu'elle attendait déjà dans leurs cockpits. Caressant le fuselage de son F-22 sur lequel était peint sa devise (la même qu'elle avait fait tatoué sur ses reins) : « Aussi haut que l'honneur ». Et puis, un sergent débarqua au pas de course pour crier que la 8ème avait la permission de décoller et de dégommer tous appareils extraterrestres se trouvant dans le ciel américain. L'heure de la revanche sonnait. Au même moment, les aliens continuaient à détruire les grandes villes du monde les unes après les autres.

APRÈS L'INVASION


    Les vaisseaux ennemis étaient très rapides et Helen entendait les cris de détresse de ses camarades dans la radio de son casque. C'était un des pires moments de sa carrière militaire probablement. Voyant que les tirs de son canon avaient l'air de faire ni chaud ni froid aux envahisseurs, elle verrouilla le pilotage automatique pour aller se crasher sur un de leurs vaisseaux et s'éjecta de l'appareil, non sans regret d'avoir à se servir de son superbe engin comme d'un missile.
    Elle marcha plusieurs kilomètres dans un bush hostile avant d'atteindre un ranch récemment abandonné. Tous les chevaux étaient morts de faim dans les enclos et des coyotes avaient commencé à en dévorer certains. C'était un bien triste spectacle. Une fouille de la maison lui permit de déterminer qu'elle se trouvait dans l'état du Texas. Elle dégota un petit revolver et un fusil à pompe ainsi qu'un bon plein de munitions qu'elle embarqua dans une sacoche qui constituerait toute sa fortune. Elle parvint à réparer une vieille mobylette dans la grange voisine et, une carte fatiguée pour toute boussole, elle s'en gagea sur une route qui menait à Houston. Là-bas, elle espérait trouver des survivants, un commandement ou même juste de l'espoir. Les villes qu'elle traversa lui parurent désertiques. Soit les gens se planquaient, soit ils gisaient dans la rue. Les blessures mortelles reçues n'avaient pas toutes été infligées par des tirs ennemis. Helen voyait aussi des impacts de balles tout à fait humaines. Certains avaient du péter les plombs et allumer tout le monde dans la confusion générale.

    Il lui fallut plusieurs semaines pour atteindre Houston car elle avait du abandonner son véhicule après que le moteur l'ait lâchée, elle avait croisé une bande de rampants et elle s'était braquée à plusieurs reprises par des groupes d'humains complètement paniqués. D'ailleurs, elle parvint à convaincre une petite vingtaine de personnes au final de venir avec elle. Parmi eux, un agent du FBI du nom de Jason Sanderson et un lieutenant de l'US Army, Duke McPherson. Elle dut admettre que c'était un véritable soulagement de retrouver des personnes qui avaient un minimum de discipline militaire et surtout du sang-froid parce que les civils trouillards avaient tendance à lui taper sur le système. Pas une seule fois, à sa grande honte, elle n'eut le temps de penser que son fiancé avait très probablement été tué dans le bombardement de New-York. Elle n'avait pas besoin de ça. Il fallait se montrer fort. Mais, comme si le destin avait décidé qu'elle ne devait pas s'en tirer à si bon compte, il remit sur son chemin le beau Richard Grant au moment où elle atteignait enfin sa destination.

    Richard et elle furent désignés pour guider et protéger ce qui fut nommé la 1ère Division de Houston car ils avaient les grades les plus élevés. Les deux jeunes gens formaient un duo très efficace et étrangement connecté, même si les choses ne s'étaient pas annoncées aussi faciles au début. Helen se demande souvent si son père est toujours en vie mais elle n'a aucun moyen de savoir ce qui s'est passé à Chicago. Quant à Henry, elle culpabilise d'avoir perdu l'espoir de le revoir en vie. Leur couple battait sérieusement de l'aile avant l'invasion à cause de la tendance fêtarde et dragueur du cadet Grant. Elle l'avait plusieurs fois soupçonné de l'avoir trompée mais n'avait pas de preuves. Et puis, elle n'arrêta pas de penser à ce repas de famille où elle avait rencontré Richard, tellement plus fait pour elle. Trop fait pour elle même. Seulement, elle ne voulait pas se résoudre à l'avouer. Elle aurait eu l'impression d'être une de ces filles de petites vertus qui changent de mecs comme de fringues. Pourtant, il ne sert à rien de lutter contre soi-même et, si elle avait été plus lucide et moins professionnelle, elle aurait vu qu'ils étaient tous les deux déjà sur le point de craquer...

CARACTÈRE


    Helen est une femme forte. Elle peut encaisser beaucoup de choses avant de craquer. Ça ne l'a pas toujours bien servie dans la vie car on l'a souvent accusée d'être indifférente ou d'être sans cœur, ce qu'elle n'est absolument pas. Elle part simplement du principe que si on se montre fort, on empêche les gens de se servir de nous et on s'affranchit des doutes et de la peur. Ses supérieurs dans l'armée l'appréciaient beaucoup parce qu'elle exécutait les ordres sans les remettre en question. C'était pendant le débriefing qu'elle se posait des questions, jamais avant ou pendant la mission. Elle peut se concentrer très longtemps et rester imperméable à toute perturbation. Cela fait d'elle une jeune femme tenace qui ne lâcherait pas l'objectif qu'elle a en vue. Elle n'aime pas qu'on lui fasse la leçon, ni qu'on la sous-estime – surtout parce que c'est une femme. Elle n'est pas du genre tout feu tout flamme mais il faudra s'attendre à se prendre son poing dans la figure si on insulte l'armée de l'air.
    L'armée lui a donné le sens de la famille car elle n'a jamais eu que son père. Elle se place naturellement du coté des plus faibles mais ne supporte pas de se faire rouler. Sa patience sera relative à la politesse de ceux qui veulent en bénéficier. Il lui arrive de lâcher des jurons dans les cas désespérés mais elle est plutôt à surveiller son langage et à réprimander ceux qui sont trop grossiers.
    Helen est combative et volontaire. Elle préfère mourir en combattant plutôt que s'asseoir et ne rien faire. Toutefois, elle ne confond pas courage avec témérité. Elle sait qu'il faut parfois délaisser des combats immédiats au profit d'autres plus importants ensuite, même si cela la fait enrager.

    Depuis le début de l'invasion, elle a essayé au maximum de ne pas penser à son défunt fiancé, Henry, à leur petite maison en Louisiane et aux vacances qu'ils devaient s'offrir à Londres cet hiver. C'est autant de souvenirs douloureux à présent. Si les choses étaient si simples, sans doute serait-elle encore capable de les endurer. Après tout, elle avait enterré de nombreux amis proches depuis son arrivée dans l'USAF. Ce qui moins facile à accepter, c'est bêtement le souvenir que son couple allait mal avant l'invasion des aliens et qu'ils seraient peut-être séparés aujourd'hui si les vaisseaux n'avaient jamais attaqué. La rencontre de son beau-frère, Richard, lors de la soirée d'annonce de leurs fiançailles, avait rempli son cœur de doutes.
    Maintenant qu'elle est aux cotés de cet homme dans la 1ère Division, les doutes se sont changés en certitude et elle a vraiment très honte de se rendre compte qu'elle n'était pas autant amoureux d'Henry qu'elle croyait l'être et que son grand-frère lui plaisait beaucoup plus qu'elle n'est prête à l'admettre. Le pire étant qu'elle ne peut même pas lui avouer cela. Que dirait-il s'il savait que la fiancée de son frère avait le cœur si versatile ?


      Helen J. Amsterdam 220px-Flag_of_the_United_States_Air_Force

        Pseudo : Vio
        Age : 24 ans dans 24 jours !!
        Région du monde : Planète Terre - Galaxie d'Andromède
        Célébrité choisie : Evangeline Lilly
        Quelque chose à dire : Aussi haut que l'honneur

Revenir en haut Aller en bas
https://fallingskies.lebonforum.com
Helen J. Amsterdam
Second de la 1ère Division
Helen J. Amsterdam


Messages : 261
Date d'inscription : 16/05/2012
Age : 35

Inventaire
Arme(s) utilisée(s):
Transport utilisé:

Helen J. Amsterdam Empty
MessageSujet: Re: Helen J. Amsterdam   Helen J. Amsterdam EmptyMar 7 Aoû - 20:48

Fiche terminée ! cheers
Revenir en haut Aller en bas
https://fallingskies.lebonforum.com
Richard Grant
Commandant de la 1ère Division
Richard Grant


Messages : 145
Date d'inscription : 05/06/2012

Inventaire
Arme(s) utilisée(s):
Transport utilisé:

Helen J. Amsterdam Empty
MessageSujet: Re: Helen J. Amsterdam   Helen J. Amsterdam EmptyMer 8 Aoû - 8:15

Validation chef Yeah
Revenir en haut Aller en bas
Helen J. Amsterdam
Second de la 1ère Division
Helen J. Amsterdam


Messages : 261
Date d'inscription : 16/05/2012
Age : 35

Inventaire
Arme(s) utilisée(s):
Transport utilisé:

Helen J. Amsterdam Empty
MessageSujet: Re: Helen J. Amsterdam   Helen J. Amsterdam EmptyMer 8 Aoû - 11:26

Merci Love
Revenir en haut Aller en bas
https://fallingskies.lebonforum.com
Contenu sponsorisé





Helen J. Amsterdam Empty
MessageSujet: Re: Helen J. Amsterdam   Helen J. Amsterdam Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Helen J. Amsterdam
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Falling Skies :: Les survivants de l'invasion :: Bureau de recensement :: Dossiers classés-
Sauter vers: